vendredi 21 décembre 2012

Pornésie du Jour #21

Ce poème fût réaliser dans le cadre de l'anniversaire du site web LES DESSOUS DU PLAISIR en le très bel endroit qu'est ORPHÉE PRIVÉ


Salope, elle venait de finir sa vodka
Les cheveux aux plaisirs tricolore
que sensible j'enfile une poteca
Puritain pour qu'elle crie douleur

Les sosies décoreront le député
Au grand festin du voyage suggestif
Pour la cacophonie bien réputé
Que sa main promette le jus festif

Je serais pris de turbulence
Amour Libertin en anniversaire
Pour cette pipe, elle bu lance
L'étoile rouge au ravi verseau



lundi 17 décembre 2012

Pornésie du Jour #17

Salut les artistes du sous-bock

Elle avait une jolie fistule
je chantais le barbelé au clamidia
Anacoluthe allé fistons
l'euphémisme équivoque camélia

Je ne lui demanderai point l'égalité
ma banane salivant les hémoroïdes
Boeuf vergetures en sensualité
l'amour chocolat sur le rhodoïde

Elle dévergondera mon ananas
Son pédoncule que le prout jalouse
Bonjour Bonjour et partout sur les draps
Pour finir sur sa joue andalouse.


Un grand merci à la poétesse Émilie Rimbaud et au grand philosophe Farid Karioty

vendredi 14 décembre 2012

Pornésie du Jour #14

Développement Durable


J’ai envie de lui caresser les mains
En giclant sur ses lèvres photovoltaïques
Qu’elle bouffe le cookie malin
Colibri juteux pour burka laïque

10 secondes de léthargie pour la belle
Le chat rosi à la gousse de vanille
La courgette aux petites mirabelles
Victoire, l’armageddon de ma quille

Ce soir je naviguerai dans la paella
La saucisse protéger par manix
Anonyme du lapin à la maïzena
L’ananas libertin de matrix

jeudi 13 décembre 2012

Pornésie du jour #13

 Salut Nathalie Kosciusko-Morizet

A son poulpe ineffable trottoir
Je saupoudrai le cendrier de cuir
crapahuter sur ses hanches butoir
Les bourses pleines qu'elle veuille en luire

Je soulignerai le relief de la chimère
l'impulsivité de la mer éclectique
que ses lèvres murmure un "cimer"
la bouche ouverte qui éclaire trique

Alors l'arc en ciel jaillira du camion
la mer houleuse du joli boudoir
qu'elle éructe le voile du bâillon
A son poulpe ineffable trottoir

mercredi 12 décembre 2012

Pornésie du Jour #12

 Livraison !!!

Honnete cul le doigt en trompeloeil
Russes, Grecs, Bangalore chevelure
Capillaires escarpins pour le deuil
Que l'asphalte recueil ma chapelure

Il suffira la girafe dans la nuit
A la tromperie de tous ces mots bavards
Que le vernis reste ce qui luit
pour les lèvres à la cigarette hagards

mardi 11 décembre 2012

Pornésie du Jour #11

Bienvenu les Pornets !!!

 Histoire qu'elle se mette à chanter
Je farcissais son macaron en secret
crocodile venant bien à hanter
son petit cul au sandwich sacré

Elle aura bien l'émotion éphémère
la charcuterie douteuse le cirque si muet
Chaussure, Baguette que le jeu en soit fier
Pour la prostituée en Graal du menuet

lundi 10 décembre 2012

Pornésie du Jour #10

Aux Zgegs Citoyens voici un petit Poème

Je titillais l'ailleurs du coquelicot
Juvénile Chapka l'atmosphère décalée
Que la banque recueil mon tricot
La trique haute du héros étalé

Ses bonnets feront ravage de mes doigts
l'agence vibrante pour le gland sans hiver
Boucle casse couille à qui de droit
Que je sorte cocaïne de salie verge

Alors je biflerai l'amour taxidermiste
sa bouche en Sopalin régalant le flétri
Au rage et quel espoir pour ses maxillaires tristes
A regagner Champagne et la farine pétri

samedi 8 décembre 2012

Pornésies de Fêtes

Cadeau de Noël

Pornésies, 69 poèmes pour rester concentré

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lundi 10 septembre 2012

Champagne FACIAL !!!!

 Un excellent Trumblr m'a donné envie d'écrire ce poème

Champagne facial

A son anticléricale lubrification
Je lui violentais si douloureux le bâtiment
Que ses tétons ballotte lubrique citation
Prends ça Salope où elle débâti gland

Je doserai le vin et le poisson
Au fleuve de la rédemption du tournevis
la liberté d'éroder le rocher au lampion
Sa lunette violette retourne mon vié

Alors je saccagerai la moule
Fabuleux puit la lumière glaciale
Où l'alcool doit reluire la houle
Par un délicieux champagne facial 

 Champagne facial le Trumblr

jeudi 30 août 2012

Au Top !!!

Au Top !!!

Depuis quelques temps sévit une expression ou locution employée à tort et à travers. Même les sages de la maison des secrets s'y sont mis.

Tout le monde se retrouve sur les toits, chacun à sa manière, et toujours Au Top ! à croire que Paris installe des fauteuils sur ses sommets afin que tous puissent avoir accès à l'Everest de son estime.
Je remarque également que cette belle sémantique est largement stimulé dans le corpus Entrepreneurial et Commercial.

Même les parents doivent être Au Top sur le site SupersParents.com    Exit la génération Y nous sommes dorénavant une génération Au Top.


Saluant l'initiative tout de même du docteur Patrick M. Georges qui a senti le filon en 2004 avec son magnifique Livre : Etre au TOP


Ainsi comme des moutons de Panurge, nous souhaitons rejoindre le haut de la falaise....


Admirons alors tous ses stalkers, base-jumpers, fan de Duflot et  autres piliers de bar qui seront à mes yeux toujours Au Top !!!

jeudi 16 août 2012

Un poète très cintré !!!

 
Antonin Veyrac est un (jeune) poète que j'ai pu rencontré sur une terrasse de café. Il se meut dans un Paris fait d'étoiles, de rêves, ses rêves. Bien loin du cintre et de ses Catwalks synthétiques, il porte à merveille l'armure et le stylo. Notre tombeur... de mots découvre les textes, les instants à travers les rythmes. Il exprime désormais les siens, ses mouvements de l'esprit qui travers le temps. Pourfendeur de son siècle, il dépoussière vos références.

Ne cherchez plus la sincérité d'un poète, trouvez Antonin au 30 rue de Bourgogne les mardi, vendredi et samedi au Club des poètes.



Le Poète Antonin Veyrac, son blog  PENROSE


Et voici l'un de ses poèmes en intégral bonne lecture

LETTRE D'UN PETIT FILS À SON GRAND-PÈRE
Si tu étais vivant tu entrerais dans un temple
Contempler les bougies et les carreaux colorés
Tu me chuchoterais à l'oreille de ne pas pleurer :
Pleurer les morts est une facilité, ils ne sont plus là pour te regarder
Divine litanie, toi même fendu par l'esprit profane

Et tu me prendrai la main on irait tout en haut du mont Aigoual
Voir si là-haut les anges crient à ta mort
Ta mort dans un sac plastique "Les Temps Modernes"
Tu me dirais de ne pas m'en faire : Qu'à la fin tout est histoire de croyance.

Je t'écouterai parler paisiblement voyant tes gestes
Tu me dirais je suis le nouveau Voyant : Je suis terrestre et je t'ai vu.
Nous aurions des discussions sur Celan, tu me dirais ton amour pour lui et tes enfants,
Je me confronterais à ton regard doux et brumeux, comme celle des âmes qui reviennent heureuses

Nous irions au bord du Gardon, tu me ferais une nouvelle bosse sur mon front
Mon front marqué par la tristesse, tu me réconforterai par ta gentillesse.
Je ne t'ai connu que trop peu et quand je pleure, je pleure à la place des cieux et de ma mére.

Adoré ciel où je fais mes prières. Tu es enterré au bon endroit. Tu chérissais la nature et les lois

Tu me dirai ma voie, celle qui n'amène pas la trépanation, tu sais je suis allé à l'hôpital
Les médecins étaient cruels dans un premier temps, mais comme je faisais marcher les électrochocs,
Ils se disaient cet enfant est un enfant de la grande époque.

Tu aurais lu ma poésie et tu te serais effondré parce que je parle de toi dans chacun de mes vers :
Tu te serais dit mon petit-fils a un passe droit pour l'Enfer.
Oui j'ai passé des années furieuses, à croitre comme le lierre sur un arbre mort.

Tu es l'Inca, Ciel des ciels tu les touche avec tes doigts et quand tu les regardes de près tu te vois au déclin de la beauté
Moi je naquis à ce moment là : Au moment où toutes les pierres étaient rouges de lave, je me brulais les pieds :
Alors je courrais vite vers la Beauté, mais je ne l'atteignais pas, seulement des lambeaux que Vulcain voulait bien me laisser toucher.

Je te ramène vers tes causes perdus : La guerre d'Algérie, le Cinéma, la psychiatrie et les Pendus.
Suis moi de ton ombre parfaite, ta calvitie faisait auréole sur ta tête. Suis moi dans ma tempête
Et parle à Ouranos pour le faire taire, avec ta langue érosive t'y arriveras plus que moi.

Ô papounet aide moi, je vais être trépané
Ô mon grand-père sauve moi je suis l'être impliqué.