Salut Nathalie Kosciusko-Morizet
A son poulpe ineffable trottoir
Je saupoudrai le cendrier de cuir
crapahuter sur ses hanches butoir
Les bourses pleines qu'elle veuille en luire
Je soulignerai le relief de la chimère
l'impulsivité de la mer éclectique
que ses lèvres murmure un "cimer"
la bouche ouverte qui éclaire trique
Alors l'arc en ciel jaillira du camion
la mer houleuse du joli boudoir
qu'elle éructe le voile du bâillon
A son poulpe ineffable trottoir
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